C’est une question complexe, qui s’explique par un certain nombre de raisons. La première est la nature du terrain que vous scannez – votre corps.
En 1972 et 1977, deux études différentes ont analysé le corps humain afin de déterminer la charge bactérienne d’une personne moyenne. Elles ont révélé que le nombre de cellules bactériennes était dix fois supérieur au nombre de cellules humaines, ce qui signifie que nous sommes, nous humains, constitués à 90 % de bactéries et à seulement 10 % d’humains.
Une étude israélienne récente s’est penchée à nouveau sur le sujet et a affirmé avoir trouvé des erreurs dans l’étude initiale. Les chiffres révisés font état d’une moyenne de 30 000 milliards de cellules humaines et de 39 à 50 000 milliards de cellules bactériennes. Quelle que soit l’étude à laquelle nous nous référons, nous sommes donc essentiellement constitués de bactéries.
Aussi incroyable que cela puisse paraître, la grande majorité de ces bactéries sont inoffensives. Certaines sont bénéfiques et même essentielles à la vie : 70 % de notre système immunitaire est constitué de ces «bonnes bactéries».
Tous ces organismes – les bons, les mauvais et les inoffensifs – ont des taux d’oscillation de destruction compris entre 76 000 Hz et 880 000 Hz.
Lorsque vous effectuez un scan systémique, vous introduisez des fréquences à pleine amplitude qui couvrent toute cette plage. Ce scan est donc aussi un traitement puissant, et certains utilisateurs ressentent des réactions d’Herxheimer après le scan.
Votre premier scan éliminera de nombreuses espèces différentes – mais comme leur destruction a provoqué une réaction de stress dans votre corps, leurs fréquences de destruction sont enregistrées dans votre scan. Une fois que vous aurez utilisé les résultats pour appliquer les traitements recommandés, vous les aurez toutes éliminées, de sorte qu’elles ne seront pas retrouvées lors de votre prochain scan.
Un autre facteur de complication est que, pour des raisons de temps, il n’est vraiment possible de rechercher que les 20 premiers «hits» de votre corps à chaque scan. Cependant, certaines espèces semblent détruites de manière plus remarquable que d’autres – nous les appelons «les plus bruyants» parce qu’ils provoquent des événements de stress plus importants dans le corps.
Étant donné que le scan de biofeedback n’a aucun moyen de faire la différence entre les mauvaises et les inoffensives, ce sont ces dernières que le générateur Spooky2 enregistrera.
Les pathogènes furtifs, quant à eux, ont développé des moyens d’échapper au système immunitaire, afin de ne pas attirer l’attention sur eux. Par conséquent, leurs fréquences peuvent ne pas être détectées et enregistrées dans un premier temps. Chaque fois que vous effectuez un scan, vous pouvez trouver 20 nouveaux “hits les plus bruyants” qui restent. Et même ces derniers peuvent ne pas inclure les méchants responsables de votre maladie.
Pour cela, vous devez d’abord éliminer TOUS les hits les plus bruyants par des scans répétés. Une fois cette étape franchie, il ne restera plus de «grands bruyants” pour étouffer l’agonie des méchants, et vos résultats incluront désormais leurs fréquences de destruction.
D’autres facteurs entrent également en ligne de compte. La destruction des bactéries, par exemple, libère invariablement les virus qui les infectent, ainsi que des toxines. Certaines bactéries qui parviennent à survivre au premier scan peuvent se transformer en “kyste” ou sous une autre forme qui ne sera pas aussi facile à éliminer la fois suivante. Les parasites détruits libèrent des bactéries, des virus, des toxines et des métaux lourds.
Cela signifie que votre terrain est en constante évolution, qu’il n’est jamais le même d’un moment à l’autre.
Compte tenu de tout cela, il n’est pas raisonnable de s’attendre à une répétabilité des analyses successives jusqu’à ce que vous atteigniez la couche d’agents pathogènes plus résistants qui causent les dégâts. Il n’est pas réaliste de croire qu’un ou deux scans résoudront tous vos problèmes, même s’ils vous aideront certainement en supprimant de nombreux fardeaux qui pèsent sur votre système immunitaire.
Aller à la racine d’une maladie, c’est comme peler un oignon couche par couche. C’est pourquoi la méthode que nous recommandons est de scanner, d’utiliser les résultats en mode contact 7 à 8 fois, puis de scanner à nouveau, et de continuer ainsi jusqu’à ce que vous atteigniez votre objectif de bonne santé.
