Est-il préférable d’utiliser les préréglages de biofeedback en “Hunt and Kill” ou “Scan and Run” ?
Préréglages “Hunt and Kill” (chasser et tuer) : Les traitements par fréquences appliquent un stress aux agents pathogènes. Pour contourner cette action, les agents pathogènes sont capables de “muter”. Cela modifie leurs fréquences d’impact et les éloigne de façon sécuritaire des fréquences appliquées. Ces préréglages les traquent lorsqu’ils se mettent à l’abri. Les préréglages commencent par un balayage de biofeedback. Les résultats sont ensuite appliqués sur un générateur nommé. Lorsque le programme est terminé, les fréquences précédentes sont réanalysées. Les agents pathogènes qui cherchent à s’abriter sont poursuivis et frappés à nouveau. La “distance” parcourue par les agents pathogènes n’a pas d’importance. Ils seront découverts. Et ils seront vaincus. Ce cycle se répète jusqu’à ce que le préréglage soit arrêté OU qu’aucun résultat ne soit détecté.
Préréglages “Scan and Run” (balayage et application): Ces préréglages sont conçus pour fonctionner jusqu’à ce qu’il soit arrêté. Ils commencent par un balayage de biofeedback. Les résultats trouvés sont ensuite exécutés sur un générateur désigné. Lorsque le programme est terminé, un nouveau balayage de biofeedback commence. Ce cycle se répète jusqu’à ce que le préréglage soit arrêté OU qu’aucun résultat ne soit détecté.
S’il s’agit d’un rhume viral, il est recommandé d’utiliser la fonction “Hunt and Kill” (chasser et tuer).